The first test must be successful. I won't blame you if you are a little bit stressed. You just have to close your eyes (not at the beginning) but at the end.
At that speed, you don't have the time for a pray. Or a very short one then.
Enjoy it. (1)
(1) The coyote is not the maddest !
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mardi 29 mars 2016
lundi 28 mars 2016
L'origine du doigt d'honneur
A force de voir ce geste si souvent brandi par des personnes de tous âges,
de tous rangs sociaux ...
... connus ou inconnus,
j'ai eu l'idée d'écrire ce petit article afin de vous expliquer l'origine de ce sympathique signe amical.
Tout d'abord, pour vous mettre sur la piste, permettez-moi de vous donner un petit coup de POUCE.
Bien que le thème de cet article ne soit pas MAJEUR, je pense qu'il est aussi digne de figurer dans nos journaux que le fameux saut d'INDEX que notre gouvernement veut nous infliger. Voici donc.
Un peu d'histoire.
En 50 avant J-C, toute la Gaule étant occupée (1) les Romains s'emmerdaient tellement en France qu'ils eurent l'idée d'envahir l'Angleterre. Pfffff ! Fallait vraiment n'avoir que ça à foutre. D'autant que s'ils avaient attendu quelques années, ils auraient eu l'Eurostar qui leur aurait permis de gagner quelques heures et rameurs.
Peu importe, ils décidèrent de traverser la Manche en bateaux. Preuve en reste le phare romain dont on peut admirer les vestiges (2) sur les hauts du château de Douvres.
Les troupes de César arrivées sur les terres anglaises s'imaginèrent alors pouvoir tout envahir depuis le Kent jusqu'aux îles Shetland mis à part l'un ou l'autre petit village d'irréductibles.
C'était sans compter sur les terribles barbares des contrées du Nord appelées aujourd'hui Ecosse. Non seulement, ils étaient de féroces guerriers musclés, barbus et roux mais ils avaient une arme terrible face à ces chauds lapins italiens: le kilt. (3)
Bref, après de nombreuses années de durs et impitoyables combats, les Romains ne purent aller bien plus haut que York, se résignant à laisser ces sauvages enjuponnés dans l'ignorance des chiffres de I à X, des aqueducs, des chaussées (romaines bien sûr) et bien d'autres innovations technologiques comme, plus tard, l'ABS et la direction assistée sur les chars tirés par deux chevaux. C'est par ailleurs à ce niveau que l'on peut encore voir aujourd'hui les vestiges (2) du mur d'Adrien, séparation entre l'Ecosse et l'Angleterre.
Une question de doigté.
A l'époque, les Nord-Coréens n'avaient pas encore de missiles capables d'atteindre la Californie et les soldats devaient compter sur les archers qui, comme les bombes au napalm au Vietnam, nettoyaient le terrain avant l'arrivée des fantassins. Mais aux flèches romaines, les Anglais répondaient par des flèches anglaises que l'ont reconnaissaient facilement car c'étaient les seules qui volaient en direction des Romains. Cette arme faisait des ravages aussi bien dans un camps que dans l'autre. Si bien que les Romains, plus éduqués que leurs ennemis, ont eu cette idée ingénieuse: puisque pour bander (4) les archers avaient besoin de deux doigts consécutifs afin de tirer promptement sur la corde tout en guidant la flèche armée, il suffisait aux soldats romains de couper l'index des archers ennemis pour qu'ils ne puissent plus jamais utiliser d'arc, ils acceptèrent de laisser la vie sauve aux adversaires anglais moyennant le tribu de leur index. (5)
Afin de narguer les Romains, les Anglais brandissaient alors leurs deux doigts index et majeur jumelés pour montrer à l'envahisseur qu'ils étaient toujours dotés de toutes les phalanges et aptes à décocher les flèches meurtrières.
Voilà d'où vient le doigt d'honneur fièrement brandi pour agacer le destinataire du geste. A l'origine (eh oui) le doigt d'honneur était double: index et majeur conjugués.
Un saut d'index.
Avec le temps, les indélicats étant en plus fainéants, ont abandonné ce double doigt en faveur de ce que l'on connait aujourd'hui, le majeur.
Cette histoire me donne une idée lumineuse: si on coupait l'index (6) à tous ces connards arrogants vêtus de noir qui assassinent aveuglément des innocents, ça les emmerderaient de ne plus pouvoir appuyer sur la gâchette ou tirer sur la goupille pour se faire sauter. Tiens, tant qu'on y est, je vais leur donner ce petit tuyau: si vous voulez vous faire sauter, il reste encore des gars en kilt en Ecosse. Ça fera un peu mal au début mais ensuite il paraît qu'on s'y fait.
Et nous, nous garderons nos deux doigts.
Rien que pour vous emmerder, le V de notre victoire contre votre radicalisme.
(1) sauf un petit village d'irréductibles.
(2) ben oui, ça ne date pas d'hier.
(3) et rien en-dessous ajouteront certains obsédés.
(4) les kilts écossais ne leur faisant aucun effet.
(5) tiens donc ! Le gouvernement belge ne se serait-il pas inspiré de cela pour nous retirer l'index ?
(6) pour commencer.
vendredi 11 mars 2016
Faut-il croire au destin ?
Y aurait-il un ange pour nous protéger ? A chaque instant de notre vie, nous passons à côté de plein de choses que nous ne voyons pas, que nous ne soupçonnons même pas d'être là ou tout simplement d'exister. Pensez-vous que notre destinée soit écrite dès notre naissance, que rien n'arrive par hasard ?
Il y a peut-être bien des coïncidences. Personnellement je n'y crois plus beaucoup mais je ne vais pas m'étendre sur ce sujet ni en débattre dans cet article.
Par contre, je pense que nous jouons parfois de chance. Mais, me direz-vous (et vous avez raison), s'il faut croire à la chance, il faut croire aussi à la malchance, au sort qui s'acharne sur certains de nous.
Je ne pense pas qu'il faille parler de chance ou de malchance à propos de notre destinée. Je vais vous donner un exemple pour essayer de vous expliquer mon point de vue:
un enfant vient de naître et, lui et sa maman se portent à merveille. Si l'un d'entre-vous connaît cette histoire, qu'il m'arrête tout de suite...
... OK, alors je continue. Cet enfant grandit, c'est un beau gamin espiègle et un peu turbulent. Il aime jouer au foot dans la rue avec ses copains. Ceux-là mêmes (ils doivent être 3 ou 4 toujours les mêmes) qui viennent le chercher chez lui vers 17h00 après les devoirs. Un jour, en jouant, leur ballon roule assez loin vers la grand-route. Le petit Henry (oui au fait c'est l'histoire d'Henry depuis le début), donc, le petit Henry se met à courir derrière le ballon pour le stopper le plus vite possible. Il traverse la grand-route et là ...
... il arrête net le ballon et le dégage en direction de ses copains. Vous vous attendiez à quoi bande de sadiques ? La grand-route, ce jour-là était barrée à la circulation pour cause de travaux d'égouttage. Peut-on parler ici d'un coup de chance ? Je vous laisse méditer un court instant.
Le lendemain, Henry et sa bande de potes rentrent de l'école et remarquent que les travaux étant terminés, la grand-route est rouverte à la circulation. En faisant doublement attention, ils traversent le passage clouté (évidemment quand le petit bonhomme est vert, pffff quelle question !) et arrivent devant chez eux. Comme tous les jours, après les devoirs, ils se réunissent pour donner le coup d'envoi d'un match qui sera le plus spectaculaire du moment.
Pan, à la 28ème minute, Matthieu dégage un de ces coups de canon et le ballon fonce droit vers la grand-route. Henry ayant anticipé le tir de Matthieu s'était déjà élancé et court comme un damné pour attraper ce ballon. L'obus traverse la chaussée, se faufile entre les voitures et termine sa course dans la prairie du côté opposé de la chaussée. Henry ne voit plus rien d'autre que cette sphère blanche et noire. C'est son objectif. Il court, il court et soudain....
... dépose son pied sur la balle arrêtée depuis quelques minutes dans l'herbe rase. Quel champion je suis pensa-t-il. Se retournant vers ses amis restés bouches bées, il leur cria de toute ses forces: "je suis le meilleur". Dans ce cas-ci, pensez-vous qu'on puisse parler ici d'un coup de chance ?
Les années passèrent. Henry et ses amis se sont perdus de vue. Matthieu s'est fortement disputé avec Henry qui en a gardé quelques séquelles. Pas graves sauf au cœur car il avait définitivement perdu un ami. La maman d'Henry est décédée la semaine dernière quelques jours après le 21ème anniversaire du garçon. Elle ne sera plus jamais là pour l'applaudir à chaque Grand Prix quand Henry sera, comme très souvent, sur la plus haute marche du podium. Ah oui ! J'ai sans doute oublié de vous dire qu'Henry était devenu pilote de course ? Désolé, c'est un détail car la vie de ce pauvre Henry a été bien difficile et injuste avec lui. Entre une séparation conjugale, une hospitalisation d'un mois suite à une chute de ski, les moments de rivalité dans son écurie avec son manager et surtout son remplaçant qui a tenu le volant de la voiture pendant la convalescence d'Henry.
Bref, aujourd'hui, ça va beaucoup mieux physiquement et mentalement. Henry se sent à son top niveau. Il est sur la ligne de départ de ce Grand Prix. Il occupe une très honorable place sur la troisième ligne. Les feux passent au vert, les moteurs rugissent et les pilotes s'élancent tous ensemble dans une course effrénée. La lutte est serrée. Les tours de piste s'enchaînent à une allure incroyable. Les voitures se croisent, se frôlent, se dépassent. La lutte est acharnée. Il en a couru des dizaines et des dizaines de courses mais celle-ci est sans aucun doute la plus prestigieuse qu'Henry ait pu disputer.
Au détour du virage dit "du grand S", c'est la catastrophe. Deux concurrents se sont touchés et les voitures sont stoppées en plein à la sortie du virage. Henry n'a pas le temps de les voir. Il arrive à presque 200km/h et le choc est d'une rare violence. La voiture virevolte, décolle pour retomber de l'autre côté de la piste dans l'herbe rase. Le pilote est immobile dans l'habitacle complètement broyé.
Les secours ont fait le plus vite qu'ils pouvaient, les médecins ont tenté encore et encore de ramener Henry à la vie mais en vain. Le livre se ferme. L'histoire est finie.
Peut-on penser en lisant cette histoire (surtout la seconde partie) que le sort se soit acharné sur ce pauvre Henry ? Que c'est vraiment jouer de malchance que de partir ainsi ? Après tout, il n'a rien fait de mal. S'il n'y avait pas eu cette touchette entre les deux autres pilotes.
Je vous laisse méditer sur cette dernière question.
Et maintenant, pour vous remonter un peu le moral que je soupçonne être plus bas que les couilles d'un basset, je vous invite à visionner cette vidéo qui vous donnera encore l'occasion de vous interroger sur l'existence des anges.
jeudi 10 mars 2016
Sauvez les tigres.
Vous aussi, vous pouvez aider à sauver les tigres et d'une façon générale, faire quelque chose de bien contre la connerie humaine. J'ai signé la pétition. Vous pouvez faire pareil. Imaginez la catastrophe si c'était les coyotes ! ! ! Alors, go go go. La Force est avec vous.
mercredi 9 mars 2016
Luftansa a commencé à recruter de nouveaux pilotes d'Airbus
Lubitz, vous vous souvenez ? Comment ça c'est qui celui-là ? Si je vous dis Alpes françaises, A320, ça y est ? Ça vous revient ?
Oui bien sûr c'est le copilote qui s'est suicidé en groupe en mai 2015. Ce copilote pourtant reconnu apte à voler par la compagnie aérienne allemande. Ce jour-là, il devait surtout planer hors de ses pompes mais bon. C'est pas pour une fois quand même. Tout le monde a déjà fumé un pétard.
Au fait, heureusement que j'aborde le sujet aujourd'hui dans mon blog, sinon vous avez remarqué qu'on n'en parle plus dans les journaux qu'ils soient écrits ou télévisés ? Bon, après tout les Français ont sauvé leurs centrales, c'est le principal. Dommage pour les dommages... ... collatéraux.
Au cas où vous vous voudriez vous remettre l'histoire un moment en tête, je vous redirige vers mon article paru à l'époque:
Vous vous souvenez maintenant un peu mieux des événements de l'époque. Au fait, vous souvenez-vous aussi du survol de centrales nucléaires françaises par des drones peu de temps avant cet "accident" ?
Eh bien, on en reparle des drones: le 19 février dernier, un Airbus (un autre évidemment puisque le 1er n'a toujours pas été retrouvé dans les Alpes) qui préparait son atterrissage à Paris Roissy a failli percuter un drone qui volait un peu trop haut. Alors que la loi interdit à ces appareils en vente libre et même en promo chez XXXXXXX (pas de pub ici) de dépasser un plafond de 150 mètres et qui plus est au-dessus des villes c'est complètement interdit, celui dont je parle ici ,'était quand même qu'à 1600 mètres d'altitude. Après tout merde aussi aux Airbus. On ne pourrait pas leur trouver des couloirs aériens qui permettent de faire joujou avec les jouets électroniques actuels ?
Bien, si ça ne vous dérange pas, revenons-en un peu à cet illuminé qui s'est planté en pensant passer à la postérité peut-être avec son nom dans les prochains dictionnaires. Faudrait-il encore que vous vous souveniez de son nom pour le retrouver parmi les milliers de noms propres figurant au Larousse.
Luftansa a donc commencé à recruter de nouveaux pilotes plus fiables que cet espèce de jeune drogué certes assez fort en Flight Simulator mais carrément nul derrière un manche à balai. Je vous invite à regarder la vidéo qui suit. ATTENTION, CERTAINES SCÈNES PEUVENT CHOQUER LES ÂMES SENSIBLES (surtout celles qui prennent l'avion).
Accrochez vos ceintures, on décolle.
CLIQUEZ ICI |
mardi 8 mars 2016
Croyez en vos capacités et n'abandonnez jamais - Believe in your abilities and never give up.
English version below.
A ceux qui croient ne pas être capable de relever des défis, ceux qui croient avant de commencer que tout va foirer. Je vous invite à regarder cette vidéo qui est une leçon de courage pour notre vie professionnelle et personnelle. Ça ne dure que quelques minutes mais je suis sûr qu'elle restera dans vos mémoires pendant très longtemps.
Ça me rappelle une citation de Martin Luther King qui disait "Si tu ne sais pas voler, alors cours. Si tu ne sais pas courir, alors marche. Si tu ne sais pas marcher, alors rampe. Mais quoi que tu fasses, tu dois continuer à progresser de l'avant."
To those who think not being able to take on challenges, who think before starting that everything will fail, I invite you to watch this video which is a lesson in courage for our professional and personal lives. It's just some minutes long but I'm sure it will stay in your minds for a long time.
This reminds me of a quote from Martin Luther King I saw it a few days ago that said "If you can't fly, then run. If you can't run, then walk. If you can't walk, then crawl. But whatever you do, you have to keep moving forward."
http://epanews.fr/video/video/show?id=2485226:Video:1334890&xgs=1&xg_source=msg_share_video
A ceux qui croient ne pas être capable de relever des défis, ceux qui croient avant de commencer que tout va foirer. Je vous invite à regarder cette vidéo qui est une leçon de courage pour notre vie professionnelle et personnelle. Ça ne dure que quelques minutes mais je suis sûr qu'elle restera dans vos mémoires pendant très longtemps.
Ça me rappelle une citation de Martin Luther King qui disait "Si tu ne sais pas voler, alors cours. Si tu ne sais pas courir, alors marche. Si tu ne sais pas marcher, alors rampe. Mais quoi que tu fasses, tu dois continuer à progresser de l'avant."
To those who think not being able to take on challenges, who think before starting that everything will fail, I invite you to watch this video which is a lesson in courage for our professional and personal lives. It's just some minutes long but I'm sure it will stay in your minds for a long time.
This reminds me of a quote from Martin Luther King I saw it a few days ago that said "If you can't fly, then run. If you can't run, then walk. If you can't walk, then crawl. But whatever you do, you have to keep moving forward."
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