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mardi 27 octobre 2015

Il ne manque plus qu’une signature

Chères amies, chers amis, 

Une magnifique région reculée de l’Amazonie est en danger: de vastes étendues de forêt vierge, abritant jaguars, cougars et une faune et flore exceptionnelles, risquent d’être détruites par des plantations illégales de coca et par l’exploitation forestière. Mais d’un trait de plume, le Premier ministre péruvien a le pouvoir d’en faire un parc national et de sauver cette région.

Le projet de loi est sur le bureau de Pedro Cateriano et il envisage en ce moment même de le signer. Mais chaque heure perdue aggrave la destruction de ce trésor. Si le Premier ministre se prononçait contre cette destruction illégale, d’autres dirigeants pourraient s’inspirer de son initiative et de sa détermination à protéger la planète et son exemple se transmettrait de génération en génération. Il nous revient de nous assurer qu’il est conscient de cette responsabilité.

Au Pérou, des activistes disent que si Pedro Cateriano se savait soutenu par le monde entier, il se sentirait contraint d’agir. Depuis vingt ans, des associations de peuples autochtones et de protection de l’environnement militent pour la protection de cette région. Donnons-leur un dernier coup de pouce. Cliquez pour signer la pétition, et Avaaz la remettra directement au Premier ministre péruvien dans son bureau:    

La Sierra del Divisor est une région unique d’Amazonie. Elle abrite de nombreuses communautés indigènes et une biodiversité parmi les plus riches de la planète. Mais le temps nous est compté. La zone est aujourd’hui grignotée par des exploitations forestières illégales, des mines d’or et des plantations de coca. Certains évoquent même des projets encore plus destructeurs, comme la construction d’une route et le lancement d’exploitations de pétrole et de gaz.

Pour certains, la transformation de la Sierra del Divisor en un parc national ne suffira pas à stopper ces exploitations illégales. Mais classer une région en parc national, c’est comme ouvrir les vannes: une fois que l'eau s'écoule, les ressources humaines et financières abondent, les réglementations se consolident et les inspections se font plus fréquentes. 

Nous y sommes presque: depuis 2006, les associations de protection de la nature, les peuples autochtones, les dirigeants politiques et le secteur privé travaillent ensemble pour faire de la Sierra del Divisor une zone protégée. Tout est prêt: il ne manque plus qu’une signature -- celle du Premier ministre. Cliquez ici pour signer la pétition. Montrons à Pedro Cateriano que le monde entier le regarde, et souhaite qu’il devienne un héros:  
À de nombreuses reprises, le mouvement Avaaz a donné de la voix pour protéger nos forêts. L’an dernier, nous avons été des milliers à faire un don afin d’acheter et de protéger une parcelle de forêt où vivent une partie des derniers orangs-outans du monde. Aujourd’hui, il est temps de persuader le Premier ministre du Pérou d’être le leader dont le monde a besoin et de sauver cette majestueuse forêt.

Avec espoir et détermination,

Riccardo, Maria Paz, Oscar, Alice, Luis, Caro et toute l’équipe d’Avaaz.

***Suivez la Marche Mondiale sur le Climat: FacebookTwitter et Instagram***

POUR PLUS D’INFORMATIONS 

Le Pérou met en attente la création d’un nouveau parc national sur une unique chaîne de montagne amazonienne (The Guardian - en anglais)
http://www.theguardian.com/environment/andes-to-the-amazon/2015/jul/29/peru-stalling-new-national-park-unique-amazon-mountain-range

Des satellites repèrent des traces de déforestation dans une zone sur le point d’être transformée en parc au Pérou (Policy Innovations, en anglais)
http://www.policyinnovations.org/ideas/commentary/data/00370

Sierra del Divisor Update: dernière étape de la création du parc national (Rainforest Trust, en anglais)
https://www.rainforesttrust.org/news/sierra-del-divisor-update-final-stage-creating-new-national-park-reached/

La Sierra del Divisor deviendra-t-elle le prochain parc national du Pérou? (Mongabay - Environmental News, en anglais)
http://news.mongabay.com/2015/07/will-sierra-del-divisor-soon-become-perus-newest-national-park/

La coca et l’exploitation illégale menacent la Sierra del Divisor (La República, en espagnol)
http://larepublica.pe/sociedad/17701-la-coca-y-la-tala-amenazan-sierra-del-divisor-en-riesgo

lundi 19 octobre 2015

A chacun son plaisir

Selon des études récentes,


Le faire debout fortifie la colonne


Sur le ventre, améliore la circulation du sang.


Sur le dos est plus agréable.


Tout seul c'est bon mais égoïste.


En groupe, peut être amusant.


Dans les toilettes c'est très digestif.


Le faire fréquemment développe l'imagination.


À deux, enrichit la connaissance.


À genoux, peut faire mal.


À table ou sur le bureau.


Avant de manger ou après le souper.


Dans le lit ou le hamac.


Sur le gazon ou le tapis.


Avec fond musical ou en silence.


Le faire est toujours un acte d'amour et d'enrichissement.


Peu importe la race, les croyances, le sexe ou la position économique

À tout âge

Lire est un plaisir !












IL EST BON DE LIRE
ET DE LAISSER ALLER
SON IMAGINATION
COMME VOUS VENEZ DE LE FAIRE... !

dimanche 18 octobre 2015

Clin d’œil à ma petite fée bretonne ;-)



La preuve qu'ils n'ont jamais mis les pieds sur la lune


J'en étais presque sûr qu'ils n'avaient jamais mis les pieds sur la lune. C'est du baratin tout ce qu'on nous a montré en '69 et raconté depuis. Qu'est-ce qu'ils auraient été foutre là-bas cette bande de gugusses habillés comme des bonhommes Michelin.
Ou bien ils y sont allés mais n'ont pas visité le bon côté de la lune, ou bien ils étaient au bon endroit mais pédés comme des phoques ils sont revenus avec des cailloux à analyser. Pffffffffff.
Certains ont dit que c'était pour la course au pouvoir en pleine guerre froide. Moi, je dis que pour la course à la connerie, ils sont battus, j'ai trouvé mieux:

Restez connectés, je vous donnerai d'autres preuves de cette méga supercherie.

Sarah Brightman - Who Wants to Live Forever


Tout simplement beau à regarder, à écouter. S'imprégner de chaque parole, de chaque son , de chaque silence qui révèle chaque note que l'on vient d'entendre et qui nous invite à la note qui viendra.
Comme quoi, on peut être branché Classic et apprécier un moment de calme et de douceur dans ce monde de brutes. Je vous livre ces quelques minutes en coup de cœur.

D'autres coups de cœur de la même artiste en commentaires. Allez, bande de rockeurs, faites-vous plaisir.

Folle Russie : 9 minutes de Grand N'importe Quoi !

Ça vaut le coup de regarder jusqu'au bout. Ne vous posez pas trop de questions à propos de Vladimir. Il va bien.
A part ça, c'est une des plus grandes puissances mondiales.
On met en prison des bonnes femmes qui chantent des trucs anti-communistes mais tous les fous ne sont pas internés.

jeudi 15 octobre 2015

Halte aux emmerdeurs - Stop pissing me off.

English version of this article below (especially for all my American friends)

J'ai voulu écrire cet article pour vous faire part d'une réflexion à propos du bouquin que je suis en train de lire.
Le titre "Halte aux emmerdeurs" m'a directement attiré car dans mon cadre de vie, qu'il soit professionnel ou privé, les emmerdeurs sont légions. Et je pense que vous pensez comme moi. Déjà là, il y a quelque chose qui m'interpelle. Si vous pensez comme moi, cela voudrait-il dire qu'il y ait une chance que je sois un emmerdeur pour quelqu'un ? Ou bien sommes-nous tous sur la même longueur d'onde pour citer la même liste exhaustive d'emmerdeurs, vous et moi ? Là, il y a vraiment peu de chance. Donc, j'en reviens à ma première hypothèse: il se peut que je sois un emmerdeur pour certains.
Paf ! Prends ça dans les dents coyote.

J'ai voulu écrire cet article également dans la langue de Washington afin que tous mes bons camarades depuis mes collègues de travail jusque Barak Obama sachent et comprennent ce que je pense de notre belle et grande famille que je rencontre tous les jours du lundi au vendredi. Je suis presque sûr que certains emmerdeurs francophones vont transmettre cet article à d'autres emmerdeurs francophones (vous remarquerez que je m'abstiens de citer des noms). Pour bien leur montrer à quel point j'ai peur de ce genre de délation, je m'assure que même des emmerdeurs anglophones pourront le lire. Et je souhaite qu'ils le lisent et comprennent le sens profond de ce message car, dans mon coup de gueule, il y a peut-être la solution à un de leur problème: la compétitivité de notre belle et grande famille.

Je citerai donc certains passages de ce livre en espérant ne pas être envoyé en taule pour ne pas avoir respecté les droits d'auteur.
Ce livre "Halte aux emmerdeurs" a été traduit du titre original "Stop Pissing Me Off" de Lynne Eisaguirre publié en 2007 aux Etats-Unis et, dès la couverture, le ton est donné.
L'auteur nous conseille d'abord d'accepter l'idée qu'il y a un emmerdeur en chacun de nous. Et donc y compris le coyote. Cette idée d'autocritique et d'état des lieux personnel est très bien expliquée au chapitre 2 intitulé "mais c'est quoi, le problème ? (c'est peut-être vous)".
Bon, je ne vais pas faire mon mea culpa du début à la fin de cet article, ce n'est pas le but mais je vais maintenant aborder un sujet qui devrait intéresser (je l'espère vivement) les plus hauts dirigeants de notre belle et grande famille. D'où la traduction en anglais.

Au chapitre 4, on nous pose la question suivante "pourquoi prendre la peine de créer des liens?"
Edward Hallowell, éminent psychiatre installé dans les faubourgs de Boston a mené des recherches sur la raison de la dépression de personnes (1) ayant apparemment tout pour être heureuses. Il a recoupé les témoignages avec une étude menée sur des singes et des bébés en orphelinat et il en a conclu que le cerveau humain est programmé pour se forger des liens avec les autres.
Ceci pourrait expliquer le besoin que certains ex-collègues ont de revenir entre nos quatre murs nous faire un petit coucou de temps en temps, de passer une partie de leur retraite à s'occuper de l'Amicale des Anciens ou aussi pour d'autres de sombrer malheureusement dans une dépression plus ou moins prononcée.
 
Pourquoi les connexions au travail sont importantes ? (2)
D'une part, elles nous aident à voir que nous sommes programmés pour la vie sociale depuis l'époque où nous nous regroupions autour du feu de camp pour nous protéger des prédateurs et où nous sommes sortis de nos cavernes où là aussi notre sécurité y était accrue. Ceux qui apprenaient à créer des liens avaient plus de chances de survivre dans la jungle ou dans le désert; lorsqu'ils formaient une bande, nos ancêtres risquaient moins de se faire dévorer par les lions, les tigres et les ours.
Si nous nous regroupons en meute, notre entreprise aussi a plus de chances de survivre à la concurrence.
D'autre part, je suppose qu'il y aura une autre part. Laissez-moi le temps de finir mon livre.

(1) principalement des hommes.
(2) j'ai dit "au travail". Ca ne veut pas dire se bourrer la gueule tous les vendredis au bistrot d'en face.

I wanted to write this article to share with you a reflection about the book I'm reading.
The title "Stop pissing me off " directly attracted me because in my living environment, whether professional or private, assholes are legion. And I think that you think like me. Already there, there is something that concerns me. If you think like me, it would mean that there is a chance that I'm a pain in the ass for someone? Or are we all on the same page to quote the same exhaustive list of hecklers, you and me? There is really little chance. So I come back to my first hypothesis: it may be that I'm a pain in the ass for some.
Paf! Take that in your teeth, coyote.
 
I wanted to write this article also in Washington's language so that all my good friends from my colleagues to Barak Obama know and understand what I think about our large and beautiful family that I meet every day from Monday to Friday. I am pretty sure that some French speaking hecklers will pass this article on to other French speaking hecklers (you will notice that I refrain from naming names). To show them how much I am afraid of this kind of accusation, I make sure that even English speaking hecklers can read it. And I hope they read and understand the deep meaning of this message, because in my stink, there may be the solution to their problem: the competitiveness of our large and beautiful family.

So I will write some passages from the book, hoping not to be sent to jail for not respecting the copyright.
This book was translated from the original title "Stop Pissing Me Off" of Lynne Eisaguirre published in 2007 in the United States and, from the cover, the tone is set.
The author advises us first to accept the idea that there is a pain in the ass in all of us. And thus including the coyote. This idea of self-review and inventory is very well explained in Chapter 2, "but what is the problem? (Could be you)."
Well, I will not do my mea culpa from beginning to end of this article, it is not the goal, but I will now turn to a subject that should interest (I strongly hope) the top leadership of our beautiful and large family. Hence the English translation.

In Chapter 4, we ask ourselves the question "why bother to build links?"
Edward Hallowell, a prominent psychiatrist installed in the Boston suburbs has conducted research on why people depression (1) apparently having everything to be happy. It intersected the testimonies with a study on monkeys and babies in orphanages, and he concluded that the human brain is programmed to forge links with others.
This could explain the need that some ex-colleagues have to come back between our four walls just to make us a little hello time to time, to spend part of their retirement to look after the Association of Former or for some others unfortunately sinking in a more or less pronounced depression.
 
Why work connections are important? (2)
On one hand, they help us to see that we are programmed to social life since the time when we gathered around the campfire to protect us from predators and when we came out of our caves where also our security was increased. Those who learned to build relationships were more likely to survive in the jungle or in the desert; when they were a band, our ancestors were less likely to get eaten by lions, tigers and bears.
If we group together in packs, our company also has a better chance of surviving the competition.
On the other hand, I suppose that there will be another hand. Let me time to finish my book.

(1) mainly men.

(2) I said "at work". It does not mean getting drunk every Friday at the pub opposite.

mardi 13 octobre 2015

Cours d'anglais et de diction (French-English article)

J'ai appris tout à fait par hasard que j'avais des lecteurs, fans du coyote ?, aux States. De plus, je sais que j'ai gardé de bons camarades, ayant quitté notre belle et grande famille, qui ont pratiqué avec brio la langue de Shakespeare (1). C'est pourquoi, à partir de ce jour, je publierai certains articles soit tout en anglais, soit traduits pour mes bons camarades d'outre-Atlantique, soit en français pour la majorité de mon fan club. De cette façon, les bons camarades qui auraient toujours envie de pratiquer l'anglais auront tout le loisir de continuer à le faire -mais plus pour le boulot-, les trous de balle qui voudraient partager certains de mes articles avec ma hiérarchie bien-aimée pourront le faire aisément jusqu'au plus haut niveau de notre pyramide, et pour les francophones, continuez comme ça. Quand une blague ou un jeu de mot en anglais ne pourront pas être traduits en français, je vous le signalerai.

On va donc commencer par une petite leçon d'anglais et de diction. (2)

Comment dit-on en anglais la phrase suivante ?
     - de 1h58 à 2h02 : « de deux heures moins deux à deux heures deux. »
     - From two to two to two two.
A lire la version anglaise à voix haute, c'est assez amusant.

Un peu plus compliqué mais tout aussi marrant si on lit la version anglaise à voix haute.
     - Trois sorcières regardent trois montres Swatch. Quelle sorcière regarde quelle montre Swatch ?
     - Three witches watch three Swatch watches. Which witch watches which Swatch watch ?
On essaie de se la répéter trois fois de suite ?

De plus en plus fort et pour les experts. Attention de ne pas vous mordre la langue ni de cracher sur l'écran.
     - Trois sorcières suédoises transsexuelles regardent les boutons de trois montres Swatch suisses. Quelle sorcière suédoise transsexuelle regarde quel bouton de quelle montre Swatch suisse ?
     - Three Swedish switched witches watch three Swiss Swatch watch switches. Which Swedish switched witch watches which Swiss Swatch watch switch ?

Vous pouvez aller vous rhabiller avec vos chasseurs et vos chaussettes sèches !!...
(1) c'est une expression, bande de dégueulasses !
(2) merci à Robert.

vendredi 9 octobre 2015

Top 10 des plus grandes absurdités

1- Payer 100 euros pour aller écouter un concert de Véronique sans son.

2- Avoir un chien à la maison qui n'arrête pas d'aboyer alors qu'il suffit d'avoir un chat et de lui donner une tasse de lait pour qu'il la boit.

3- Essayer d'aller sur la Lune juste pour ramener de la poussière alors qu'il y en a tant qu'on en veut sur Terre.

4- Faire la crêpe sur la plage au risque de se choper un cancer de la peau juste pour montrer aux collègues, par son bronzage, qu'on n'est pas resté bêtement en Belgique pendant les vacances. Mais attendez, y'a pire ....

5- Payer jusqu'à 753 euros + le voyage aller-retour pour aller "voir" un match de foot au Brésil alors qu'on voit nettement mieux à la télé avec les pieds sur la table du salon.

6- Éclairer les autoroutes belges même pendant la journée. Certains me diront que c'est pour vérifier les tubes à remplacer. OK, sauf qu'on était dimanche vers 13h00.

7- Obliger les élèves à aller à l'école puisque de toute façon les examens seront annulés en juin et que tout le monde passera en année supérieure.

8- Descendre une dizaine de personnes innocentes et se donner la mort. S'il avait fait l'inverse, y'aurait eu moins de victimes.

9- Avoir sous la main sur le meilleur tisserand de la région et le laisser filer.

10- Dormir sur un lit de clous alors que les matelas sont en promo chez "Le Roi du Matelas".

dimanche 4 octobre 2015

Notre premier ministre vient d'acheter une seconde résidence en france

Ce n'est peut-être pas un scoop pour tout le monde mais notre trop cher premier ministre Charlem' vient d'acheter une seconde résidence dans un petit village français de la Marne.


Merci madame la ministre

Chère madame Milquet,

permettez-moi de vous réitérer toutes mes félicitations pour cette idée magistrale que vous avez eue en juin dernier et mise en application dès le 1er septembre 2015.
En effet, imaginer occuper nos chers enfants pendant les quelques heures gagnées par la suppression de cours, disons-le clairement et une bonne fois pour toutes, complètement inutiles, en leur permettant de suivre un cours de RIEN donné par des professeurs qui servent à RIEN et qui feront de nos enfants des moins que ....


.... RIEN (super, je vois qu'il y en a au-moins un qui suit), il fallait oser.

A quand les prochaines élections ?
Oserais-je vous suggérer de briguer le poste de Ministre de l'agriculture après avoir essayé de vous intéresser à la Culture ?

En tout cas, les résultats sont probants. Après seulement un mois de mise en application de ce cours de rien, nous voyons déjà apparaître chez nos enfants quelques bons résultats très prometteurs pour cette année scolaire.


J'espère qu'avec de tels résultats, notre trop cher premier sinistre, monsieur Charlem' aura à cœur de vous remettre une distinction à la hauteur de vos compétences.

Dans l'attente du plaisir de pouvoir vous envoyer de nouveaux témoignages du fruit de votre réforme, je vous prie de croire, madame la ministre, en mes salutations les plus irrespectueuses.

Des milliers de poissons morts sur les plages de Charente

En juin dernier, nos voisins Français découvraient des milliers de poissons morts sur les plages de Charente. L'explication de ce phénomène n'a toujours pas été donnée mais il s'agirait peut-être une fois encore d'un dérèglement dû à l'action bienfaitrice de l'Homme.
http://www.rtbf.be/info/societe/detail_10-000-poissons-morts-echoues-sur-les-plages-de-charente-maritime?id=9002230

On devine quel fut l'étonnement de nos amis bretons à la vue de tous ces poissons morts et de ces poissons pas nés ! (1)


(1) Merci Alan.