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vendredi 29 mai 2015

Crash de l'airbus A320: info ou intox ?

Tout le monde se souvient du drame causé par le crash de l’Airbus A320 dans les Alpes françaises et de ses 150 victimes. Plus précisément, on devrait dire 149 victimes assassinées par un barge qui s'est suicidé en groupe.


Revenons un instant sur les faits: pendant le vol de cet avion que la compagnie aérienne low cost de Luftansa avait mis entre les mains d'un pilote expérimenté (ayant la chichi galopante au mauvais moment) et d'un copilote psychopathe malade dépressif (mais reconnu apte à voler puisqu'il n'avait pas la chichi galopante ce jour-là), le pilote quelque peu embarrassé quitte la cabine pour se rendre aux toilettes. Pendant ce temps, le copilote malade dépressif, resté seul aux commandes, ferme la porte (de la cabine de pilotage pas des toilettes !) et décide soudainement de faire plonger l'avion et ses 149 passagers vers les montagnes.
Après presque 10 minutes de chute folle, c'est le crash ! Boum, plus rien ! Plus personne ! Plus d'avion ! Plus de boîte noire ! Mais des dizaines de policiers, d'enquêteurs et autres investigateurs de haut niveau, dignes de figurer dans les meilleurs épisodes des experts Miami ou Seyne-les-Alpes sont immédiatement sur place pour retrouver les deux boîtes noires et, accessoirement les corps pulvérisés des victimes.
Oui, pulvérisés car à cette vitesse et avec la violence de ce choc, que peut-il bien rester de ces malheureux ? Et de l'avion ? Et du décor ?
N'aurait-on pas du voir des parois rocheuses calcinées par les 23,000 litres (1) de carburant embarqué et dont le plein des réservoirs venait d'avoir été fait en Espagne ? Sous l'impact de ce monstre de 77 tonnes (1), la montagne aurait dû souffrir de l'impact. On a quand même dans nos régions une accélération de la pesanteur égale à 9.81m/s² (2) ! Ça vous laisse imaginer l'impact au sol de ce corps tombant à vitesse constante.
Tiens, tiens. Ce n'est pas la première histoire d'avion disparu (hors du triangle des Bermudes) que j'aurais entendue. Je vous raconterai une autre histoire intéressante dans un prochain article.
Bref, si vous faites une recherche sur Google, vous trouverez une flopée d'articles de tous genres au sujet de ce dramatique "suicide" d'un déséquilibré mental ayant entraîné avec lui 149 innocents. Mais ces 149 victimes ne seraient-elles pas tombées au champs d'honneur ? (sans mauvais jeu de mots)
Les infos que les JT's ont bien voulu nous donner sont-elles exactes et complètes ou bien dois-je vous renvoyer vers mon article publié précédemment dans ce blog et dont voici le lien ?
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Je comprends pourquoi aussitôt le crash il y avait des ministres sur place pour "organiser les secours" pour 150 morts ! Plus de mille hommes sur place immédiatement pour faire le grand show médiatique d'enfumage...avec trois chefs d'Etat et des promesses d'indemnisation rapide des familles !
> > En fait l'avion en descente était à quelques minutes de CARADACHE !
> > Lisez l'article de Présent du 2 avril.
> > Nous avons peut être échappé à une catastrophe nucléaire majeure irréparable.
> > Cela rappelle le scénario identique de l'avion qui s'est abîmé en mer en début d'année dans l'Océan Indien, qui s'approchait dangereusement de la base américaine de San Diego et qui n'a toujours pas été retrouvé !
> > - Un bolide  de plusieurs dizaines de tonnes, avec son carburant,  lancé à 600 km/h contre une paroi de roche friable, provoquerait forcément  un cratère énorme  où il serait en partie encastré. Or on ne nous montre aucune trace d'un tel impact !
- Quelle était la mission du Mirage (ou Rafale) français envoyé à la rencontre de l’Airbus ? Motus.
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Assez de mensonges sur le crash de l’Airbus A320 !

Si le copilote de l’A320 ne s’est pas suicidé, toute la narrative officielle tombe à l’eau. Et d’où nous vient cette narrative officielle des autorités françaises ? Des Etats-Unis ! Le début de la construction de l’histoire officielle a été lancé par le New York Times, repris par tous les médias du monde, y compris français. Suicide bien commode comme beaucoup de suicides sans cause brandis dès qu’une explication embarrassante doit être fournie.

Il suffit de sortir de l’écoute passive du ronronnement médiatique et d’observer et analyser les discours, pour se rendre compte que tout ce qui s’est dit jusqu’ici est un tissu de mensonges encore plus vicieux que celui concernant le 11 septembre, car ici, il y a une construction méthodique, brique après brique, du mensonge. On ne sait pas ce qui s’est passé et on ne le saura peut-être jamais, mais on sait déjà que les explications officielles ne tiennent pas la route et omettent beaucoup d’éléments qui contredisent les discours.

Qu’y a-t-il de faux, dans le discours actuellement en vogue ?

Le copilote Lubitz n’a pas pu vouloir se suicider. Un jeune pilote reconnu à 100% apte à piloter selon les normes très, très strictes appliquées dans le domaine de l’aviation, surtout dans un pays comme l’Allemagne, ne peut pas se transformer, le temps d’un crash, en un psychopathe bourré de médicaments. Tous ceux qui l’ont connu rejettent ces allégations. Si elles étaient vraies, alors ne prenez plus l’avion, les normes ne servant à rien.

Du coup, la conversation calme entre les deux pilotes à travers la porte verrouillée du cockpit dont nous parle le New York Times n’a pu avoir lieu. Si elle avait eu lieu, cela voudrait dire que le jeune homme, en n’ouvrant pas la porte, soit voulait se suicider, ce que nous avons écarté, soit était inconscient, ce qui rendrait toute conversation impossible.

Donc le New York Times ment, et tout ce qui en découle est faux.


Le crash des Alpes rappelle étrangement le crash d’Air Algérie en provenance de Ouagadougou qui a eu lieu au Mali au mois de juillet dernier. On avait retrouvé des débris sur plusieurs kilomètres, et aucun impact significatif au sol, comme s’il avait été pulvérisé en plein vol. Dans les Alpes, nous avons à peu près le même schéma. Débris éparpillés un peu partout, et aucun impact sur la montagne. Ce qui voudrait dire que l’avion ne s’est pas écrasé entier au sol, et qu’il avait commencé à se désintégrer en vol.

Ce que semble d’ailleurs confirmer les témoignages oculaires des habitants de la région recueillis à la base aérienne d’Orange. Ces témoins affirment avoir entendu des explosions et vu de la fumée sortant de l’avion. Ce qui, en passant, démolit le récit du New York Times, car on ne voit pas comment le commandant de bord pourrait aller pisser et revenir tenir une conversation calme avec son copilote, pendant que son avion est en feu.

Que vient faire le FBI dans cette histoire ? Si les hommes politiques français peuvent être soupçonnés d’allégeance à des forces hégémoniques extérieures, ce n’est pas le cas des administrations françaises. A ce stade des investigations, il est difficile d’imaginer la machine judiciaire française demander le concours du FBI autrement que sous forme d’échange de renseignements, et les procédures judiciaires n’ont pas la réputation d’être simples et rapides. Et pourtant le FBI a été « appelé » à la rescousse, à moins qu’il ne se soit appelé lui-même.

Puisque les raisons du crash semblent destinées à être cachées, il est probable que dans les jours à venir, nous ayons régulièrement des révélations gardées bien au chaud, avec l’aide bienveillante des grands médias dont nous savons pourtant que toute révélation émanant d’eux ne peut être qu’une révélation commandée.

Que s’est-il passé de si grave qui oblige les officiels à s’empêtrer dans des contorsions mensongères, allant jusqu’à salir un jeune pilote qui, d’après les témoignages, n’aurait pas fait de mal à une mouche ? La coopération internationale dans le mensonge est évidente, et c’est d’autant plus inquiétant.

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